Des filles de même…

… ou un meme de fille.

Cécile me donne la tag pour un meme concernant des produits de beauté féminins. Je ne voulais pas le faire au départ, en me disant que ça n’allait intéresser personne, mais comme j’ai constaté que les réponses des autres m’intéressaient, j’ai décidé de participer. De toute manière, c’est pas comme si ça débordait de contenu du côté de mon blogue ces jours-ci…

Voici donc la chose:

Non non, je ne porte pas tout ça tous les jours!

Un fond de teint? Je n’en ai pas porté pendant des années et je déteste les fonds de teint liquides, mais j’aime beaucoup la poudre minérale Bare Naturale de L’Oréal. C’est facile à appliquer, c’est discret et ça couvre les rougeurs, bien que pas complètement. Ça contient aussi un écran solaire SPF 19. Simple et clean.

Un mascara? Maybelline Define-a-lash, noir.

Une crème de jour? J’utilise en général un hydratant après la douche. Ces jours-ci c’est le Sérum régénérateur quotidien Regenerist de Olay. C’est comme une huile au toucher, mais ça ne laisse aucun fini gras et ça rend la peau très douce. Un des magazines que je lis (je ne sais plus lequel) citait un étude qui faisait une comparaison du rapport qualité-prix et ce produit était en tête. Un anti-ride pas cher. Que demander de mieux? (à part la jeunesse éternelle, bien entendu.)

Une marque de produits? Je ne suis fidèle à aucune marque. De toute manière, quand j’aime un produit et que je m’y attache, la compagnie s’empresse en général de le retirer du marché. Une vraie conspiration!

Ta marque fétiche maquillage? Pas de fidélité ici non plus, bien que je commence à apprécier de plus en plus la qualité des produits Lise Watier (surtout le eyeliner Eye Shine, qui s’étend sans tirer la paupière).

Un produit must? Je ne pourrais vivre sans un hydratant pour les lèvres. Elles sont hyper fragiles, surtout que je les mordille tout le temps quand j’écris. J’en essaye toujours des différents et j’ai plusieurs tubes dans mes sacs à main, dans le salon, dans la chambre à coucher et dans la salle de bain. Il faut que je me rappelle d’en appliquer plusieurs fois par jour sinon j’ai des problèmes avec les lèvres qui rougissent et sèchent. C’est chiant.

Ton parfum? J’en porte rarement. Mon chum portait du Kenzo quand je l’ai rencontré et comme j’adorais ça sur lui, j’ai essayé la version féminine, Eau. C’est le seul parfum que j’ai depuis des années, mais j’oublie toujours de le mettre et je ne termine jamais mes bouteilles. J’utilise davantage des hydratants parfumés après la douche. Mon préféré depuis un an: le nectar hydratant Human de Fruits & Passion (à l’extrait de bambou et à l’huile de rosier muscat).

Ton magazine féminin fétiche?
Elle Québec. (note: J’y collabore régulièrement.)

Tu pars sur une île déserte. Tu emportes quoi? (trois produits max sans protection solaire ni rasoir)
Du baume pour les lèvres, du baume pour les lèvres, et… du revitalisant biodégradable (parce que j’ai les cheveux qui mêlent en maudit, surtout après une baignade dans l’eau salée).

La femme que tu admires pour sa beauté? Charlotte Rampling (pour la grâce et le magnétisme).

La femme dont tu envies le look? Salma Hayek (pour la grâce des rondeurs sur une petite femme. Et elle a passé le cap de la quarantaine drôlement en beauté… du moins sur les photos disponibles!).

Je me damnerais pour? De longues jambes. C’est difficile d’avoir un port élégant quand on fait 5 pieds 2 et qu’on n’est pas mince.

Que signifie pour toi la féminité? C’est un mot avec lequel je n’ai jamais été très à l’aise, parce que je sais qu’on l’associe souvent à « délicate, sensible, émotive, fragile » et ce ne sont pas des attributs auxquels je m’associe beaucoup. Je n’ai donc jamais cherché à ce qu’on dise de moi que j’étais « féminine », car je ne le voyais pas comme un compliment.

Ton blogue mode ou beauté préférée? Je ne lis pas de blogue beauté ou mode, mais plutôt des trucs sur le design. J’aime bien CreativeAdoration (le blogue d’une montréalaise), SwissMiss et Shiny Shiny, pour la mode… techno. (on ne se refait pas). J’ai aussi très hâte à l’ouverture du nouveau site Pins and Bobbins (une réalisation d’une copine).

Un dernier mot?
Un seul? Trois plutôt!
1) Je ne crois pas aux pubs qui tentent de nous faire croire que leurs produits peuvent faire des miracles. La cellulite, ça ne part pas avec une crème, point final. Je ne paie jamais plus d’une trentaine de dollar pour un seul produit (et souvent beaucoup moins).

2) Mon rapport au maquillage – que je ne portais jamais avant ma trentaine – a beaucoup changé quand j’ai fait de la télé et que j’ai vu comment on pouvait transformer quelqu’un d’ordinaire en quelqu’un de pas mal mieux. Un jour, si je suis brave, je vous montrerai un de mes avant/après. Ça surprend (surtout l’avant…)

3) Les gars qui disent qu’ils préfèrent les femmes sans maquillage? Ha ha ha ha ha! C’est juste qu’ils aiment le genre de maquillage qu’on ne peut pas détecter très facilement, mais ils nous font toujours bien plus de compliments quand on vient de passer de longues minutes à s’arranger. Clueless sur ce sujet, les garçons. Désolée!

Quatre filles à taguer: Les memes, c’est comme les mts. J’ai pour règle de ne jamais refiler ces trucs à personne ;-) Mais si vous avez envie de prendre le relais ou bien de me parler de vos produits dans les commentaires, allez-y fort, que vous soyez homme ou femme!

Men are the latest accessory

From CNN:

It’s a dizzying reversal of traditional gender roles in a country long known for geishas pampering male clients with conversation, singing and dancing. Now a new breed of entertainer has cropped up — think of them as male geishas.

« I give women things that men normally don’t do, like complimenting their appearance, » says one host, 24-year-old Yunosuke, who only goes by his single host name. « I make women happy. »

And they make him happy: Yunosuke says he earned more than $200,000 last year, enough to let him visit a salon once a day to have his hair dyed and blow-dried.

« Women see us as one of their accessories, » he says. « They like to wear nice things, so I try to look prettier for them all the time. »

There’s definitely a trend here. After reading Vers le sud, I need to get my hands on Cliente, a novel by Josiane Balasko (soon to be a movie). And of course there’s Christian who pulled a few tricks (link= video) as a high end escort recently on Nip/Tuck. (The video link doesn’t lead to the right scene but the striptease is kinda worth it, in a campy, Nip/Tuck way)

Check out the picture of the guy who is quoted in the CNN article. He looks strangely like that creepy woman who follows your mouse with her eyes. I wouldn’t want to be his « cliente » if he did that to me. Yikes.

Sounds quite familiar

I’ve been meaning to link to this article for a while… but I lost my focus and forgot about it.

Even before this all-in-one technology makes its grand debut, we are revelling in the miracle of nearly ubiquitous connectivity. But all this access has not come without a psychological cost that is ultimately rooted in the way our brains function. If we now find ourselves adrift in an ocean of information, our mental state increasingly resembles the slivered surface of a melting glacier. As the dozens of studies at interruptions.net attest, we have created a technological miasma that inundates us with an inexhaustible supply of electronic distractions. Rather than providing necessary interruptions to assist us in focusing on the incomplete task at hand, as Zeigarnik proposed, the deluge of multi-channel signals has produced an array of concentration-related problems, including lost productivity, cognitive overload, and a wearying diminishment in our ability to retain the very information we consume with such voraciousness. It may be that our hyper-connected world has quite simply made it difficult for us to think. […]

If we are to establish balance in our relationship with the digital information that envelops us, we must reconsider our understanding of the inner workings of our pre-existing mental machinery and the limits of its capacity to adapt to the electronic environment.

One approach is to recognize the futility of the compulsion to inundate ourselves with information in the hope of meaningfully processing everything that comes over the digital transom.

From the Walrus Magazine, Driven to distraction: How our multi-channel, multi-tasking society is making it harder for us to think.