Plume libre

« Écrire pour le cinéma, c’est se damner pour une écriture qui n’existe pas, une écriture zombie qui ne sort que la nuit pour déchirer l’humain et le régurgiter au petit matin. Une écriture sur laquelle tout le monde essuie la merde qu’il a sous les pieds afin de pouvoir faire le film. »

Ça, c’est une perle tirée du roman Je compte les morts (Libre Expression) de la scénariste blogueuse – et maintenant romancière – Geneviève Lefebvre. Des perles comme ça, il y en a plusieurs dans le livre et je n’en suis qu’au chapitre 11. Je dose et je savoure.

Geneviève, on sent ta plume follement libre. Que c’est agréable!

Ça doit faire un bien fou.

By Martine

Screenwriter / scénariste-conceptrice

2 comments

  1. Mets en Martine! C’est dangereux comme c’est libre… Ça doit être pour ça que c’est la grâce que je te souhaite!

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