It has become a very common cinematic device, especially for horror movies. You want to scare viewers? Play an eerie, tinkery tune, like the ones you hear coming out of a mobile in a baby’s crib. Or get a child to do an a cappela version of a nursery rhyme: « itsy bitsy spider… » Spooky as hell, right?
I wonder though: is there something fundamentally creepy in these children tunes, or has Hollywood created that fear and trained us to get spooked when we hear them?
Maybe it’s just that young children are scary and we all know it, deep inside. ;-)
La seule chose qui me fait vraiment peur dans un film de peur est un enfant (Je suis encore traumatisé par « The Omen »). Pourquoi? Je me le demande. C’est peut-être dû au fait que les enfants ne semblent pas obéir aux mêmes règles que les adultes. Un jeune enfant est impérvisible, spontanné et pratiquement dépourvu de sens moral. Il agit par instinct et par plaisir. Mais du haut de ces trois pieds, il ne constituera jamais une menace pour un adulte… À moins qu’un sénariste tordu décide de lui donner des pouvoirs surnaturels. :)
er. ses* trois pieds.
Encore plus effrayant: les trailers qui racontent tellement le film, et dans un ordre tellement chronologique, qu’on n’a plus aucune envie de voir le film, parce qu’on connait maintenant toute l’histoire.
Mon Petit Coco, du haut de ses neuf ans, a bien hâte qu’on le laisse écouter des films d’horreur et se demande bien quand cela va arriver. Il ne peut ou ne veut pas comprendre quand je lui explique que ces films-là sont, sauf exception (et croyez-moi, ce ne sont pas ces exceptions-là qui l’intéressent! Plutôt Friday the 13, Freddy et autres histoires de zombies!), mauvais à se taper la tête sur les murs, stupides et mal faits. Tant mieux pour les producteurs de merde: la relève s’en vient! (Au fait, la réponse à sa question, c’est quelque chose comme « quand tu pourras te payer ton propre téléviseur, mon chéri, que belle-mère n’ait pas à endurer ces cochonneries! »)
Au fait… dis à de nouveaux parents, l’oeil rouge et la cerne noire, qui n’ont pas dormi depuis deux mois, que madame est de nouveau enceinte (comment tu le saurais? Tu ne le saurais pas, mais ils n’ont pas dormi depuis des mois, ils ne se poseront pas la question!). Le cri que tu entendras te confirmera que oui, les enfants, c’est épeurant!
even scarier is the sound of a child’s voice singing a cradle song in a tuneless voice.
:(
oh wait, that was the last line of the first paragraph of your post.
fuhgeddit. i should read it all before i respond but it’s nice to know we are on the same wavelength.
Nicolas: Oui, ces bandes-annonces, c’est vraiment l’horreur!
Vieux bandit: C’est vrai que la première chose que les mères font en les mettant au monde, c’est de hurler…
Tbit: Heh heh. You made me go back and check my post!
moi juste les bandes-annonces des films d’horreur me foutent la trouille alors allez en voir un…y’a assez d’enfants effrayants dans la réalité;) demandez aux profs;)
It’s definitely the children; children r scary!
http://www.skary.net
It’s a good question: fundamentally creepy or Hollywood created?
I used to live on a street in downtown Toronto that was somewhat ‘neighbourhoody’ and family oriented. Every Saturday morning (after I’d inevitably been out drinking the night before) an ice-cream truck with a warped speaker system would drive down our street at 8 am playing a very creepy ice-cream truck song. I`m not sure if it was the fact that the sound was all warbly, but I definitely would wake up in a fit of terror every Saturday morning. Not fun.
That will put someone off ice cream for a while… which can be a good thing, I guess. ;-)
You might have just given screenwriters a great idea for a horror movie…
Some say it’s a resurgence of that late 60’s to early 80’s trend in horror movies which featured evil or scary children who demand your very soul (The Omen, Rosemary’s Baby, Children of The Corn etc..). That trend emerged because, at the time, baby boomers were having their own children and beginning to grasp the affect that parenthood can have on one’s life (and one’s sex life, ego as well as youth). The movies themselves were manifestations of how a generally selfish generation felt suffocated, cursed and drawn into « old age » (hell?) by their children. Now the children of boomers are trying to reconcile those same feelings.
I like your theory, Rachel!